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How do you become extremely efficient at work without wearing yourself out?

How do you become extremely efficient at work without wearing yourself out?

By daydreaming, of course! 

Despite its “dreamy” appeal, the fact of the matter is this assertion feels quite counter-intuitive. How can we let ourselves daydream at work when we’re buried under a mountain of projects and reports? Other (less diligent) people, maybe, but not us! It’s just inconceivable. We already have difficulty squeezing everything into a day. If we allow ourselves the luxury of daydreaming, who knows what will happen?!

So, let’s set aside these indications of frayed nerves, which are a tell-tale sign of an imminent need for mental renewal (daydreaming!), and attempt to calmly get a grasp on things.

First of all, the dream state we are referring to here, which is also called mind-wandering, manifests itself in moments of intellectual distraction, during which we let go and stop voluntarily focusing on something. In other words, these wandering states occur when we are no longer able to concentrate on a particular task.

Paradoxically, it is in this waking dream state, characterized by an absence of control over our freely roaming mind that our brain accomplishes its most beautiful feats.

It uses these periods of intentional release, first, in order to renew itself, regaining attention and focus. It also reviews and automatically, unconsciously works out different hypotheses that are likely to lead it toward original, creative solutions that are well-suited to the circumstances.

In fact, the beauty of this processing mode is the characteristic intense activity in Default Mode neural circuits associated with very high energy consumption.

It is, therefore, in moments when we ask nothing of our brain that it is at its most efficient!

And, returning to our original assertion, it is when we daydream that we solve complex problems, that we are able to calmly handle our emotions and that we are able to deeply embed our memories in our minds.

Anyway, you see the point… mind-wandering is the key to better performance at work! So, what do you say we daydream?

Having said that, this does not explain how and when we should allow our minds to wander. In fact, the idea is not to daydream constantly, but to create periods when we are in default mode in an ultra-connected and stimulating world that leaves little room for anything else.

To do so, there are several solutions that essentially depend upon your own modus operandi:

  • If you are a professional daydreamer, you do not necessarily need our help, and simply reading this text will have given you multiple opportunities to wander.
  • If you are an amateur mind-wanderer, however (or are even reluctant, because – okay, letting your mind wander may be efficient, but seriously, in your job, it’s just not done), we can certainly do something for you.
    • The first thing we should mention is that shifting into default mode is very quick and does not need to last long* to work well.
    • Then, you only need to slip a few repetitive activities into your daily tasks (tidying, categorizing, reading with no exact goal in mind…), so that your mind begins to wander spontaneously. Along these lines, commute time is also perfect for mind-wandering, with the landscapes providing solace for your mind.
    • And, to round all of that out, we have created, for you, a library of revitalizing “micro tales” to be used several times a day, which can be found in our My Mental Training Pro app. What is the goal? There is none! Well, there is, actually. Their sole purpose, which is no small feat: artificially grant your brain two minutes of attentional release to leave, for the time it takes to tell a tale, your daily troubles behind. In short, we’re giving you tiny snippets of default mode. It’s guaranteed to work!

So, we wish you pleasant daydreams with Mental Training Pro!

Gaël Allain

* Be aware that the switch into Default Mode can happen very quickly and absolutely does not conflict with workplace organizational methods. In a study that Charlotte Toso, cognitive engineer, and I are in the process of concluding in a joint effort with Caroline Cuny and Cyril Couffe at the Grenoble School of Management, we have demonstrated the impact on intellectual performance of mind-wandering breaks as short as 60 seconds. But, we will tell you about all of that in a future newsletter!

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How do you become extremely efficient at work without wearing yourself out?

Comment être efficace au bureau sans se fatiguer ? En rêvassant bien sûr !

Bien qu’assez séduisante, cette affirmation « onirique » n’en demeure pas moins contre-intuitive. D’ailleurs comment pourrions nous nous permettre de rêver au bureau, nous qui croulons sous des tonnes de projets et de dossiers ? Les autres (pour ne pas dire «  glandouilleurs ») peut-être, mais nous NON ! Ce n’est tout simplement pas envisageable. Nous n’arrivons déjà pas à tout faire tenir dans une journée alors s’il fallait en plus se payer le luxe de rêvasser… où allons nous !

Bon, passons sur ces signes d’énervement, témoins d’un besoin imminent de régénération mentale (de rêve !) et tentons de reprendre les choses calmement.

D’abord l’état de rêverie dont il est question ici, également appelé divagation mentale, se manifeste dans des moments d’égarement intellectuel durant lesquels nous lâchons prise et arrêtons de nous intéresser volontairement à quelque chose. En d’autres termes, ces phases de divagation apparaissent lorsque nous n’arrivons plus ou ne souhaitons plus nous concentrer sur quelque chose en particulier.

Paradoxalement, c’est dans cet état de rêve éveillé et d’absence de contrôle sur notre esprit qui vagabonde alors librement que notre cerveau réalise ses plus belles prouesses !

Il utilise ces phases de relâche attentionnelle d’abord pour se régénérer, regagner en attention, concentration. Mais aussi pour passer en revue et combiner de manière automatique et inconsciente différentes hypothèses susceptibles de le conduire à des solutions originales, créatives et adaptées.

La richesse de ces traitements se caractérise d’ailleurs par une activité intense dans les circuits neuronaux du Mode par Défaut associée à une très forte consommation énergétique.

C’est donc aux moments où on ne lui demande rien que notre cerveau s’avère être le plus efficace !

Et, pour en revenir à notre affirmation de départ, aux moments où nous rêvassons que nous résolvons les problèmes complexes, que nous gérons calmement nos émotions et que nous ancrons profondément nos souvenirs dans notre mémoire.

Bref, vous l’aurez compris… la divagation intellectuelle est la clé de la performance au bureau ! Alors on rêvasse ou pas ?

Ceci étant admis, cela ne nous explique pas comment et quand laisser son esprit divaguer. En effet, l’idée n’est pas de rêvasser en permanence mais d’apprendre à se fabriquer des plages de mode par défaut dans un monde ultra connecté et stimulant qui ne lui laisse pas beaucoup de place.

Pour cela, il existe plusieurs solutions qui dépendent essentiellement de votre propre mode de fonctionnement :

  • Si vous êtes un rêvasseur professionnel, vous n’avez pas forcément besoin de nos services et la simple lecture de ce texte aura donné à votre esprit maintes opportunités de divagation.
  • Si vous êtes un divagueur amateur (voire réticent parce ok, la divagation est peut-être efficace mais quand même, vous dans votre job, ça ne se fait pas), en revanche, nous pouvons certainement faire quelque chose pour vous.
    • La première chose étant de vous indiquer que la bascule en mode par défaut est très rapide et n’a pas besoin de durer longtemps* pour être efficace.
    • Ensuite, il suffit que vous intercaliez dans vos activités quotidiennes quelques tâches répétitives (rangement, classement, lecture sans but précis… ) pour que votre esprit se mette spontanément à divaguer. Dans cet ordre d’idées, les déplacements constituent aussi une belle opportunité de rêvasserie, le paysage servant de support à notre esprit.
    • Et pour compléter cela, nous avons créé pour vous une bibliothèque de « micro contes » régénérants, à utiliser plusieurs fois par jour, que vous retrouvez dans notre appli My Mental Training Pro. Leur objectif ? Il n’y en a pas ! Enfin si, un seul objectif et pas des moindres : octroyer artificiellement à votre cerveau 2 minutes de relâche attentionnelle et laisser, le temps d’un conte, vos problématiques quotidiennes de côté. Bref, nous vous offrons de petites séquences de mode par défaut. Efficacité garantie !

Alors, très bonne rêvasserie avec My Mental Training Pro !

Gaël Allain

* Notez que la bascule en mode par défaut peut être très rapide et ne s’oppose pas, bien au contraire, au mode d’organisation du travail en entreprise. Dans une étude que Charlotte Toso, ingénieure cognitiviste et moi-même terminons actuellement en collaboration avec Caroline Cuny et Cyril Couffe de Grenoble Ecole de Management, nous avons démontré l’impact de micro pauses divagatoires de 60 secondes seulement sur la performance intellectuelle. Mais nous vous reparlerons de tout cela dans une prochaine Newsletter !

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